Nouveau jouet, nouveau projet ça se concrétise ! la suite…

La fois précédente, je m’étais arrêté après le ponçage en attendant le retour de la poignée en fonte partis à l’aérogommage.

Il ne me restait donc plus qu’à nourrir et protéger le bois afin d’éviter que celui-ci ne reprenne un aspect terne et grisate suite aux agressions extérieures.

Application d’une première couche d’huile de lin préalablement chauffée (pour fluidifier et donc faciliter la pénétration).

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Voilà, la première couche d’huile de lin est appliquée. En fonction de l’essence de bois, celle-ci prendra une teinte plus ou moins sombre. ici, visiblement le bois fonce plutôt contrairement à mes volets qui avaient pris une teinte miel doré.

Pour le coup ce n’est pas pour me déplaire.

Je laisse l’huile pénétrer le bois avant d’essuyer l’éventuel surplus avec un chiffon non pelucheux.

Et enfin pour terminer, application de la seconde couche..

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Bon finalement j’ai changé mon fusil d’épaule. L’huile de lin n’est pas destinée à protéger le bois en restant exposée aux intempéries. J’avais donc prévue de peindre la porte avec une peinture à l’huile de lin évidemment, afin de lui apporter une protection supplémentaire durable.

En effet au fil du temps, les intempéries, les cycles gel /dégel, etc… finiront par lessiver le bois et par conséquent l’huile de lin.

Cependant, j’aime bien la teinte qu’a pris le bois suite à l’application de l’huile, cela me rappelle un peu la teinte du bois de noyer !

Je trouve que cet aspect sied parfaitement au coté rustique de cette vieille porte en bois. Du coup je vais laisser la porte ainsi à l’état brut et je verrais bien comment celle-ci va vieillir et se patiner.

Voici l’aspect que présente la porte au lendemain après une journée complète de séchage.

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Le point d’orgue pour finaliser la rénovation sera la pose de la fameuse poignée.

Mais pour cela il faut encore patienter un peu…

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